hommage aux MARGES
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anthologie illustrée réunie et introduite par May Livory, 104 p. 20x22, concept graphique May & Valérie livory,
éditions Lebruit des autres & Barde la Lézarde mai 2012, 18 E.


May Livory édito, Ô marge!, Petit lexique de la margitude, et collages de la série Triturages de quotidien - Monsieur Lui dessins - Béatrice Libert En marge et Le chemin bleu, poèmes - Mathias Lair Le monde merveilleux de Franck Michel - Jean-Pierre Védrines Personnages habitant l'air libre, textes et dessins - Didier Guth dans le silence blanc - Claude Chanaud Le procès de la Marge, texte et dessins - Isabelle Dormion Marge ou grève, collage sur peinture sur bois - Elsa Ferry lettre du Cabinet de Fumisterie appliquée - Quémerais Tripalium - Valérie Livory lettre trouvée et Petit vélo - François Perche Je suis tel un guetteur, poème - Tita Reut poème discursif - Suzanne Dracius L'entrebâillement de la porte, poème - Robert Rovini, lettre à Henri Maccheroni - Henri Maccheroni, lavis, de la série Blason - Jean Khalfa Marge noire, à propos de la poésie d'Aimé Césaire - Bruno Dietsch Malcolm de Chazal, des jardins d'Eden à la Bible du Mal - André Chabot photographie (La Mémoire Nécropolitaine) - Claudine Bohi Maintenant en marge et écrit dans la marge, poèmes - Christian Ganachaud extraits (d'un texte à paraître) - Bruno Edmond à propos de larmes (in Levoyage du Dité, éd. des Vanneaux, 2012) - René Pons L'Exilé, extrait (éd. Lebruit des autres, 2012) - Jeanne Borensztajn Peau de filtre - Germain Roesz Imargination des confins, texte, poèmes et lavis - Jean-Pierre Brazs Talvera Pictorialis, extrait de la conférence à La Loge de la Concierge où fut réalisée la première Talvera pictorialis, lors de l'exposition du même nom - Jean-Louis Vincendeau Cinq jardins dont un - Christophe Yvon Mangrove.

  Cette hanthologie réunit vingt-six auteurs, poètes, artistes plasticiens qui rendent hommage aux marges, au terreau qui les nourrit et au courage qui les entretient.

Parce que les marges nous hantent. Parce qu'elles sont entées sur le temps permanent des choses en devenir. Parce qu'elles sont étrangement familières. Parce qu'elles sont, au coeur du monde, l'ailleurs des possibles. Qu'on les pratique de temps en temps ou à temps complet, il y a tant à découvrir dans ces envers, ces lieux sans nom.
Des êtres et des choses y ont lieu, qui parlent à l'intemporel ou au futur antérieur avec l'amour du désespoir et la force du rêve.
 

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